New York, le 25 janvier 2018 – Le Comité pour la protection des journalistes a déclaré aujourd’hui que les autorités de la RDC devraient enquêter sur les individus responsables du harcèlement et de la détention de Willy Akonda, journaliste auprès de l’organe de presse privé ACTUALITE.CD, et les conduire en justice.
En 2014, le Cameroun a promulgué une loi antiterroriste excessive dans le cadre de sa lutte contre le groupe extrémiste Boko Haram, mais les autorités s’en servent pour arrêter et menacer les journalistes locaux qui couvrent les militants ou l’agitation sociale dans les régions anglophones du pays. Un décret présidentiel en août 2017 a mis…
Au Cameroun, la législation anti-terroriste est utilisée pour imposer silence aux opposants et réprimer la dissidence Un petit déjeuner léger consistant en une omelette et un café noir avalés à la hâte : Ahmed Abba, correspondant international de Radio France Internationale, était loin de se douter que ce serait le dernier repas qu’il prendrait en…
Abuja, Nigeria, le 12 novembre 2015–Le Comité pour la protection des journalistes appelle le président du Togo à intervenir contre une proposition d’article du code pénal de son pays et qui constituerait une menace à la liberté de la presse. La loi proposée prévoit à l’encontre des journalistes une peine d’emprisonnement et une amende pour…
Tom Rhodes/Représentant du CPJ pour l’Afrique de l’Est Le Comité pour la protection des journalistes et 18 autres organisations exhortent les autorités du Burundi à enquêter sur les agressions perpétrées contre les journalistes et les défenseurs des droits de l’homme. Depuis l’annonce, en avril, que le Président Pierre Nkurunziza briguerait un troisième mandat, faisant fi…
Abidjan, le 5 août, 2015–Un journaliste emprisonné pendant presqu’une semaine par les autorités en Côte d’Ivoire a été inculpé de diffamation, entre autres délits, selon le journaliste et les médias. Le Comité pour la protection des journalistes exhorte les autorités ivoiriennes à abandonner immédiatement les poursuites contre Joseph Titi.
Abuja, Nigéria, 19 mai 2015–Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) invite les autorités burkinabés à lever sa suspension de la retransmission en direct des émissions politiques dans le pays. L’interdiction de trois mois intervient au moment où le Burkina Faso se prépare à la tenue des élections en octobre.